MM2108
Le Seigneur Jéhovah nous a parlé ainsi : « Je t'ai toujours aidé et je t'aiderai toujours. J'aiderai toujours ceux qui ont déjà passé par les écoles des Baals ». Les Baals, ce sont les ténébreux. Toutes les écoles, organisations, loges, ordres, religions et sectes de ce siècle appartiennent à l'abîme. Ce sont les écoles des Baals, qui mangent à la table de Jézabel (la fornication) et se nourrissent des mets offerts aux idoles (les théories, l'intellectualisme, etc.). Il y a des sectes où les gens se mettent à « parler en langues » et les fanatiques croient que c'est l'Esprit-Saint qui est entré en eux.
En fait, ce sont de pauvres victimes d'entités démoniaques qui les possèdent. Pour recevoir réellement l'Esprit-Saint, il faut être pur et chaste, car celui qui fornique pèche contre l'Esprit-Saint.
Ceux qui décident de prendre sur leurs épaules la lourde croix de l'Initiation se verront persécutés, voire même haïs, par leurs propres frères spiritualistes, qui passent leur temps à parler de l'Initiation.
Nos frères théosophes, spirites, rosicruciens, sectateurs de l'Ordre du Verseau, etc., détestent la chasteté. Ils abhorrent la chasteté parce que ce sont des loups revêtus d'une peau d'agneau. Ils défendent leur chère fornication à l'aide des philosophies les plus subtiles. Lorsqu'on leur parle de la Magie sexuelle, ils la rejettent immédiatement, car il n'y a rien qu'ils n'aiment autant que la fornication.
Si toi, mon frère, tu veux prendre sur tes épaules la pesante croix de l'Initiation, ne te laisse pas engourdir par les théories de ces âmes égarées. Tous ces ténébreux ont crucifié le Christ. Tous ces ténébreux continuent dans leur vie à crucifier le Seigneur à chaque instant. Ils cachent tous leurs griffes félines dans des gants de velours, ils sourient avec aménité et prononcent des paroles ineffables, sublimes, mais leurs pensées sont des pensées de perdition. « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites !, car vous êtes comme des sépulcres que rien ne signale du dehors et sur lesquels les hommes marchent sans le savoir ! » (Luc XI, 44).