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  • Biblioteca Gnostica

     Livres en ligne de V.M. Samael Aun Weor

    La Gnose est un fonctionnalisme très naturel de la conscience,
    une Philosophia Perennis et Universalis.
    Incontestablement,
    la Gnose est la connaissance supérieure des choses.

  • Portada Biblioteca Gnostica 3

    MOURIR

    Il est urgent de désintégrer le Moi,
    de le réduire en poussière, dans le seul but
    qu'existe seulement l'Etre à l'intérieur de nous.

     

  • Eros And Psique

    Naître

    Il est de toute évidence impossible de célébrer
    la Nativité du Coeur si le Christ ne naît pas en nous.

    Celui qui veut célébrer avec jubilation la Nativité du Coeur doit
    fabriquer les Corps existentiels supérieurs de l'Etre.

  • San Pablo

    Se Sacrifier pour l'humanité

    Le Troisième Facteur fondamental de la Révolution de la Conscience
    consiste à se sacrifier pour l'humanité,
    à montrer le chemin aux autres ;
    là est la charité bien comprise, là est l'amour.

  • Cristo Pancrator

MM35 La premie grande naissance de Jus-Christ

MM35 La premie grande naissance de Jus-Christ

La premie grande Initiation de Jus fut aussi simple et naturelle que la naissance humble et innocente d'une fleur de lotus. Le Boddhisattva Jus ne convoitait ni initiations, ni pouvoirs, ni titres, ni degr, ni hiarchies, ni dignit, ni positions sociales ou divines, ni royaumes, ni or, ni argent. En ant plus que tous les Anges, Archanges, Saphins, Puissances, etc., il pra simplement re un homme bon. Quelqu'un a dit : Il vaut mieux re un homme bon qu'un mauvais Ange .

Dans ses formes plus compliqus, le Moi devient subtilement envieux, il ne convoite plus de titres de noblesse, mais il convoite des titres divins, il veut que tous l'appellent Mare, il veut des titres hiarchiques et otiques. Il perd des ernit infinies, enchevrdans le karma des mondes ; il ne veut plus ni or ni argent, mais il convoite des pouvoirs occultes. Il n'aspire plus aux honneurs ni la grandeur, mais aux initiations et aux degr. Il ne convoite plus de seigneuries ni de royaumes terrestres, mais des royaumes internes, des seigneuries et des majest dans les mondes supieurs.

Il se rouit de gouverner des paradis, et bien que cela semble incroyable, il en vient me se sentir jaloux de sa propre hiarchie divine et il se convertit en un tentateur ineffable. Il aime gouverner des mondes et des soleils, et il offre ses Edens aux Boddhisattvas de compassion. Il ne veut plus reposer dans des lits douillets et des confortables demeures terrestres, mais il aspire reposer dans le bonheur ineffable du Nirvana. Ces res n'aiment pas le chemin roit, dur et difficile. Ils jouissent de repos nirvaniques, cestes, tandis que la pauvre humanitsouffre et pleure. Et ils nous offrent leurs paradis sucteurs pour nous empher d'entrer dans l'Absolu.

En vit je vous le dis, bien-aim disciples, mieux vaut renoncer au bonheur du Nirvana, pour suivre le sentier du devoir long et amer.

Le devoir nous me droit l'Absolu, c'est mieux que le bonheur du Nirvana. Ne nous laissons pas succomber ces divines tentations nirvaniques.

Le Boddhisattva qui renonce aux tentations nirvaniques, aux royaumes planaires que lui offrent les Dieux tentateurs, et qui renonce au Nirvana (le bonheur ceste) par amour pour l'humanit est confirmtrois fois honoret, apr des ernit, il gagne le droit d'entrer dans l'Absolu.

L'Absolu est la vie libre dans son mouvement, c'est la supre rlit l'espace abstrait qui s'exprime seulement comme mouvement abstrait absolu, ficit sans limites, omniscience totale. L'Absolu est lumie incre et plitude parfaite, ficit absolue, vie libre dans son mouvement, vie sans conditions et sans limites.

Nous devons en finir avec le processus du Moi pour avoir le droit d're de manie absolue. Dans sa forme plus subtilement raffin, le Moi se transforme en un enfant dangereux. Le Moi de beaucoup de Mares nirvaniques nous tente en nous disant : Abandonne le dur chemin et viens avec nous au Nirvana, onous sommes heureux . Touch de compassion pour notre douleur, ils nous tentent avec le bonheur nirvanique. Le Moi des Anges, Archanges, Saphins, Puissances, Vertus, Tres et Hiarchies de diffentes splendeurs, a toujours l'aspect innocent d'enfants pleins de beaut

Mais ce Moi divin convoite des degr, des initiations, des pouvoirs, des titres divins, des majest nirvaniques et des dignit divines. Le Moi divin est le Moi-homme me, suprement raffin Ecoutez-moi, hommes et Dieux !. Ecoutez-moi, anges du Nirvana !. Ecoutez-moi !. Nous affirmons que le chemin long et amer du devoir, qui me droit l'Absolu, est mieux que le bonheur nirvanique. Nous qui suivons le sentier du devoir, nous ne voulons pas nous oigner de ce chemin. Malheur ceux qui s'artent de ce dur chemin !. Ils demeureront empr dans le karma des mondes. Nous qui aimons beaucoup l'humanit nous disons : tant qu'il restera une seule larme dans les yeux des res humains, tant qu'il y aura un seul coeur afflig nous refusons d'accepter le bonheur.

Au lieu de convoiter des degr, des pouvoirs, des initiations et des dignit divines, nous devons nous efforcer d're des hommes utiles l'humanit souffrante. Nous devons nous soumettre la loi du grand service. Nous devons chercher le travail fond dans le Grand-OEuvre du Pe. Nous devons chercher les moyens pour re toujours plus utiles la pauvre humanitsouffrante. C'est mieux que de convoiter des titres internes, des initiations, des degr otiques et des royaumes planaires.

La personnalit l'individualitet le Moi sont les dures chaes qui nous attachent au dur rocher de la douleur et de l'amertume.

Les Dieux et les hommes sont soumis la douleur de la vie conditionn.

Dans l'Absolu, nous passons au-deldu karma et des Dieux, au-delde la Loi. Le mental et la conscience individuelle ne servent qu'mortifier notre vie. Dans l'Absolu, nous n'avons pas de mental ni de conscience individuelle. L nous sommes l'Etre inconditionn libre et absolument heureux. L'Absolu est la vie libre dans son mouvement, sans conditions, sans limitations, sans la mortifiante peur de la Loi ; la vie au-delde l'esprit et de la matie, au-deldu karma et de la douleur, au-delde la pens, du verbe et de l'acte, au-deldu silence et du son, au-deldes formes.

L'Absolu est espace abstrait absolu, mouvement abstrait absolu, libert absolue, sans conditions, sans rerve ; omniscience absolue et ficitabsolue.

Nous devons en finir avec le processus du Moi pour entrer dans l'Absolu. Le Moi humain doit entrer dans la maison des morts. Il doit aller la fosse commune des douilles astrales ; il doit se dintrer dans l'abe, afin que l'Etre puisse nare, latant de majestet de pouvoir.

Le Moi de beaucoup de Mares jouit de ses pouvoirs et dignit ; il se dlare lui-me divin et se rev de majestet de beaut ineffables. Le Moi de beaucoup de Mares se dhabille comme une prostitu, pour montrer ses formes et ses pouvoirs aux autres, il adore raconter ses visions, afin que les autres l'admirent et le vent ; il parle de ses initiations et raconte ces choses secres, il est comme l'avare qui passe son temps compter son argent, il est comme la fripouille remplie d'orgueil qui parle constamment de sa noble ascendance ou de sa rssite dans les affaires.

Ecoutez-moi, hommes et Dieux !. Les initiations sont des eils de la conscience, des choses intimes de la conscience ; apprenons nous taire, re humbles, re modestes. L'authentique olution est dans la conscience, non dans le Moi. Le Moi n'olue pas, il se complique, c'est tout.

La conscience minale olue jusqu' s'eiller comme conscience vale. Chaque atome minal est le corps physique d'une crture entale pleine de beaut ; ces entaux minaux ont un langage, ont leur conscience, et ils sont regroup en tribus ou familles, ils ressemblent des enfants innocents. Au-dessus de l'helle minale se trouve le royaume sublime des vaux. La conscience vale olue alement, jusqu' s'eiller comme conscience animale. Chaque plante est le corps d'un enfant ental qui aspire entrer dans le rne animal. La conscience animale olue aussi, jusqu's'eiller comme conscience humaine. Beaucoup plus tard, l'homme s'eille comme Ange, Archange, etc.

Le Moi n'est qu'une larve, c'est la larve du Seuil, qui devient toujours de plus en plus compliqu. Le Moi est la be intieure qui contre les quatre corps : physique, hique, astral et mental. C'est ainsi qu'est constituce monstre que l'on appelle la personnalit

Le Moi de beaucoup de Mares ne veut plus de positions politiques, mais des positions spirituelles ; il adore le re de leader et il se bat pour obtenir de hautes positions hiarchiques l'intieur des oles, loges et mouvements spirituels. Nous devons en finir avec le processus du Moi et avec la personnalit afin d'avoir le droit d're. Il nous faut en finir avec l'individualit pour avoir le droit de recevoir la Couronne de la Justice.

Seule la vie impersonnelle et l'Etre peuvent nous octroyer le bonheur litime de la grande vie libre dans son mouvement.