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  • Biblioteca Gnostica

     Livres en ligne de V.M. Samael Aun Weor

    La Gnose est un fonctionnalisme très naturel de la conscience,
    une Philosophia Perennis et Universalis.
    Incontestablement,
    la Gnose est la connaissance supérieure des choses.

  • Portada Biblioteca Gnostica 3

    MOURIR

    Il est urgent de désintégrer le Moi,
    de le réduire en poussière, dans le seul but
    qu'existe seulement l'Etre à l'intérieur de nous.

     

  • Eros And Psique

    Naître

    Il est de toute évidence impossible de célébrer
    la Nativité du Coeur si le Christ ne naît pas en nous.

    Celui qui veut célébrer avec jubilation la Nativité du Coeur doit
    fabriquer les Corps existentiels supérieurs de l'Etre.

  • San Pablo

    Se Sacrifier pour l'humanité

    Le Troisième Facteur fondamental de la Révolution de la Conscience
    consiste à se sacrifier pour l'humanité,
    à montrer le chemin aux autres ;
    là est la charité bien comprise, là est l'amour.

  • Cristo Pancrator

PD26 Le Spectre de Kundry

Dans le deuxième acte du Drame Wagnérien apparaissent avec une clarté sinistre l'intérieur et l'horrible cachot d'un vétuste donjon à moitié en ruines.

Une galerie de pierre vive conduit inévitablement au donjon de la muraille Dantesque.

L'obscurité règne terrifiante dans le fond mystérieux de cet antre noir, celui vers lequel on descend toujours à partir du terrifiant contrefort du mur.

Une grande quantité d'instruments de Magie Noire et d'appareils de Nigromancie apparaissent éparpillés, ici et là...

Dans l'effrayant contrefort de l'abject mur des abominations, le ténébreux Klingsor est fatalement assis d'un côté, face au fameux miroir métallique de la Magie...

Dans le modèle perfide, le sinistre personnage des ombres voit défiler astralement tous les extraordinaires événements de l'acte antérieur, qui se sont succédés dans les domaines du Saint Graal.

L'humanité a des moments suprêmes et celui-ci est précisément l'un d'eux ; l'instant terrible est arrivé, l'heure des grandes décisions.

Le lugubre Mage des ténèbres est parvenu à attirer dans son antre l'ingénu Parsifal comme tant d'autres infortunés chevaliers, dans l'évident et machiavélique propos de le faire tomber épouvantablement dans les enchantements des irrésistibles femmes-fleurs à la terrible beauté.

Ce sommeil hypnotique fascinant et terrible dans lequel il avait submergé Kundry, la femme sans nom, la Diablesse originelle, la sanguinaire Hérodiade, la harpie Grundige, nourrit maintenant tous ses atroces défauts.

Le seigneur des ténèbres clame à grande voix du fond de l'abîme, il invoque et appelle.

Le spectre de Kundry apparaît entre les vapeurs bleutées et fétides de l'ignominie ; dans les brûle-parfums se consument la myrrhe, l'azafetida, l'encens et nombre d'autres parfums évocateurs.

"Ah... Ah... Nuit ténébreuse. Mystère, folie, furie !... Sommeil, sommeil de douleur et de malheur... Sommeil profond ! Mort !" S'exclame déchirée l'originelle et gentille diablesse des diablesses.

Le sinistre et sombre personnage donne des ordres impératifs ; Kundry proteste en vain, se voyant finalement obligée d'obéir.

Se résigner une fois encore à servir d'instrument de perdition... Quelle horreur !...

Envelopper Parsifal dans ses enchantements, le faire tomber, comme le roi Amphortas est l'ordre, et la malheureuse affligée n'est qu'une esclave au service du pervers.

L'ordre suggestif accompli, ce malin s'enfonce rapidement avec toute la tour et comme par magie, surgit alors un délicieux jardin qui occupe toute la scène.

Une splendide végétation tropicale et luxuriante s'étend, lascive comme dans l'attente vorace de la pleine satisfaction de ses plaisirs bestiaux.

Le spectre de Kundry avec un très beau vêtement de la gamme des soies, et couronné de branches d'arbres roux, se dresse pour regarder de loin le magnifique et ample panorama.

Elle écoute muette, perplexe, le fleuve blanc qui, entre les rochers, gronde en se divisant et veille à refléter dans ses miroirs du soleil doré, l'omnipotente flamme.

Les étoiles, en trône d'amarante dans l'espace immense, se dressent toutes proches, constellant de gouttes cristalines les noires feuilles de l'acanthe endormie.

 

PD27 Les Nymphes

Dans le fond caverneux du Mystère exotique, on contemple le donjon fatal aux murailles vétustes, où s’appuient latéralement les saillies étranges de cet édifice millénaire, le château de Klingsor et ses splendides terrasses de style arabe.

Dans la terreur sacrée de ces curieux créneaux de l’énigme, surgit comme par enchantement, le Parsifal Wagnérien, contemplant, ravi, les jardins ensorcelés.

Les féminines beautés de la Sainte prédestination, malheureusement perverties par l’Esprit du mal, apparaissent de toutes parts…

D’où qu’on veuille, des jardins comme du magnifique palais, surgissent comme par magie, de nombreuses jeunes Nymphes dangereusement belles.

Les unes viennent en groupe, les autres isolées, en nombre toujours croissant, demi-nues, magnifiques, terriblement provocantes.

Celles qui dormaient heureuses avec leurs amants, les infortunés chevaliers du Graal tombés dans leurs filets amoureux, comme s’éveillant d’un sommeil érotique, abandonnent maintenant leur couche de plaisir.

C’est l’heure de la tentation et elles sont revenues à leurs antiques aventures, en quête d’une nouvelle victime…

Elles sont venues par tous les sentiers de la nuit ; voyez-les, là !

Il y a des têtes dorées au soleil comme mûres, d’autres semblent touchées d’ombre et de mystère, têtes couronnées de lauriers, têtes qui voudraient reposer dans le ciel ; il y en a quelques-unes qui ne parviennent pas à humer le printemps, et beaucoup d’autres qui transcendent les fleurs d’hiver.

Ardeur terrible que celle agitant les entrailles de chaque Nymphe, qui voit le navire s’en aller, brodant sur l’eau son fugitif sillage.

Elles, les délicieuses beautés féminines, tentent maintenant de séduire le jeune homme Wagnérien par leurs enchantements, mais celui-ci indigné, les écarte de son bras herculéen.

« Unique amour déjà tout à moi, qui mûrira avec le temps, pourquoi me déprécies-tu ? » S’écrie une désespérée…

« Mes mains t’ont oublié mais mes yeux te virent, et quand le monde est amer, je ferme les yeux pour te voir… » s’exclame une autre.

« Je ne veux jamais te rencontrer parce que tu es avec moi, et je ne veux pas que ce que mon rêve fabrique, déchire ta vie ». Ainsi parle une rêveuse.

« Comme un jour tu me la donnas, je possède ton image vivante, et chaque jour, mes yeux lavent ton souvenir avec des larmes » susurre la plus provocante à l’oreille du garçon.

Les Nymphes, changeantes femmes de tous les temps, maintenant préoccupées… Souffrant pour Parsifal, faisant même l’impossible…

Le passage musical qui souligne toute cette scène, comparable à celles des mille et une nuits, a totalement fasciné les publics les plus exigeants du monde entier.

Dans ce passage igné du colosse, il y a couleur, amour, parfum, sortilèges indicibles, tout ce qui sait en vérité séduire les sens humains.

Cependant le Héros, évidemment, ne succombe pas dans la bataille des tentations.

Pourtant ce n’est pas tout, il manque le plus terrible, la rencontre avec Kundry, la femme par antonomase, la femme symbole, l’Eve merveilleuse de la mythologie hébraïque.

 

PD28 La Diablesse Originelle

Entre la rêverie de quelques fleurs ensorcelées surgit la voix magique de Kundry, la Diablesse originelle, le prototype de la perdition et de la chute, à laquelle pas même Amphortas, le Roi merveilleux du Saint Graal ne put jadis résister.

La féminité mystérieuse s’exclame, passionnée, appelant le héros par son propre nom, celui dont l’appelait tendrement sa gentille mère en d’autres temps.

« Parsifal, arrête-toi ! » Lui lance la douce voix.

« Le plaisir et la joie t’invitent un moment !... Ecartez-vous de lui, femmes vulgaires, amoureuses, frivoles enfants, fascinantes fleurs éphémères qui vous flétrissez si vite. »

A ces mots les nymphes volubiles, changeantes, versatiles, sont profondément attristées.

Il est écrit et ceci, beaucoup de gens le savent, que ces beautés malignes s’éloignèrent ensuite en riant sur le chemin du retour au ténébreux château de Klingsor.

Parsifal dirige un regard peureux vers ce lieu des amours, d’où avait surgi la voix.

Il contemple alors cette vision juvénile à la splendide beauté, la provocante Kundry, étendue dans un massif de fleurs exquises et vêtue du vêtement le plus fantastique et tentateur dont pût jamais rêver le raffinement arabe.

Est-ce toi par hasard, sublime beauté féminine qui m’appela ?... Moi qui n’ai jamais eu de nom ?

Et… Ô Dieux ! As-tu grandi et jailli du bocage parfumé ?

« Oui » répond Kundry, cette tumultueuse blonde qu’on appelait Hérodiade, et ses paroles si douces résonnent avec les accents émouvants d’une très douce lyre…

« Toi, innocent et pur, je t’appelai FAL PARSI…

C’est ainsi que ton père valeureux GAMURET, moribond, dans l’exotique terre des Califes et Sultans, nomma et salua, heureux, le fils qu’il avait engendré. J’attendais ici, précisément pour te le révéler.

Je ne suis certes pas née de ce jardin de merveilles comme les autres beautés…

Ma Patrie est très éloignée de tous ces enchantements des mille et une nuits, j’étais dans cet endroit de joies passionnelles seulement pour que tu me rencontres.

Je suis venue de terres très lointaines et j’ai vu beaucoup de choses extraordinaires, j’attends que tu m’écoutes.

Il est bon que tu saches, que j’ai eu l’immense joie de connaître ta mère HERZÉLÉIDE…

Cette femme exceptionnelle ne savait que pleurer, se rendant à la douleur par l’amour et pour la perte de ton père ; elle voulut te préserver de la même aventure, se donnant en cela comme devoirs les plus impérieux et les plus élevés, de t’éloigner de l’exercice des armes pour te garder et te sauver de la fureur des hommes.

Jolie petite mère, petite mère brune, qui eut un jour des lèvres de grenade, des dents de marbre, des boucles qui roulaient en cascades sur ton dos tiède et parfumé, et sur ton corps taillé en burin.

Petite mère sainte qui eut un jour tous les enchantements de la belle houri ; tendre petite mère, blanche et parfumé comme un lys, qui en ouvrant son calice se convertit en berceau pour te bercer.

Il n’y eut pour elle qu’ombres et craintes, que tu n’avais jamais à connaître. N’entends-tu pas par hasard ses appels angoissés, ceux mêmes dont elle t’appelait quand tu t’éloignais trop ?

Jolie petite mère, petite mère brune, toi qui en ces nuits de pleine Lune, mettais la balançoire dans le grand arbre de ton jardin.

Elle t’apportait là-bas les douceurs et le souper au parfum de mousse, d’œillet, de verveine, de rose, de pêche et de jasmin…

Jamais pourtant tu ne connus ses peines, ni le délire de ses souffrances ; un jour tu partis pour ne jamais revenir.

Elle t’attendit anxieuse de nombreux jours, jusqu’à ce que ses propres lamentations l’eussent rendue muette, puis elle mourut ».

PD29 Le Baiser Terrible

Terriblement intéressé par le merveilleux récit de Kundry, la diablesse originelle, Parsifal, tombe aux pieds de la belle, saisi et embrumé par la douleur la plus acerbe.

« La douleur jusqu’à ce moment fut pour toi inconnue, jusqu’à maintenant tu n’as même pas pu sentir en ton cœur, les douceurs du plaisir », lui dit Kundry.

« Apaise maintenant dans les consolations qui sont le naturel butin de l’amour, la peine et l’angoisse de tes sanglots.

Le savoir transformera l’inconscience en connaissance.

Essaie de connaître donc, cet amour qui embrasa un jour le cœur de GAMURET quand l’inonda l’ardente passion d’HERZÉLÉIDE.

Cet amour qui te donna un jour corps et vie, cet amour qui mettra la mort en fuite ainsi que ta maladresse, et qui doit t’offrir aujourd’hui comme ultime salut et bénédiction de ta mère… le premier… baiser de la passion. »

Tandis qu’elle parle si délicieusement dans cet émouvant langage, Kundry la beauté la plus terrible, a incliné complètement sa tête d’enchantements sur celle de Parsifal, unissant finalement ses lèvres de pourpre maudite aux siennes, en un long et ardent baiser…

Cependant il y a un moment pour tout ; le contact igné d’une passion sexuelle si épouvantable engendre dans le héros du Drame Wagnérien une intense terreur…

Arraché par l’angoisse, il crie de toute les forces de son âme :

« Amphortas ! La blessure ! La blessure ! »…

« Elle brûle déjà dans mon cœur ! Ses lamentations déchirent mon âme ! J’ai vu saigner cette blessure… Qui saigne maintenant en moi… Ici, ici, même… !

Non ! Non, ce n’est pas la blessure ! Ce sang doit encore couler à torrents ! C’est l’incendie, ici, ici, en mon corps !

C’est l’horrible angoisse qui m’étreint et soumet les sens avec violence ! Oh ! Supplice de l’amour… !

Tout mon être palpite, brûle, tremble et tressaille en de pécheresses aspirations. » Vient ensuite le meilleur : le héros évoque le souvenir du Vase Sacré et du Divin sang que répandit le péché ; il rejette héroïquement Kundry, la Madeleine Wagnérienne qui se renverse terriblement sur son lit de fleurs, agitée par la plus sombre luxure…

C’est en vain alors que Kundry recourt à tous les enchantements, leurres et artifices que lui suggère sa ruse. Le Héros lui échappe.

La pécheresse exaspérée et vaincue, mais sans vouloir renoncer à ce qu’elle croyait être une proie facile, appelle le mage à son secours, lequel apparaît dans la muraille brandissant la lance du seigneur…

Lance qu’il jette contre Parsifal dans l’intention de le blesser comme Amphortas, mais comme le héros est pur, il est donc invulnérable ; la lance reste suspendue sur la tête de celui-ci, qui la prend et dans un geste extatique, il forme avec elle le signe de la croix.

Sous une telle conjuration, le ténébreux château de Klingsor tombe dans l’horrible précipice, converti en poussière cosmique…

Le jardin des délices se réduit à un simple désert de pénitents, et les femmes-fleurs se flétrissent et roulent sur le sol traînées par de terribles ouragans…

Moment terrible que celui en lequel Kundry, la beauté maligne, lance un cri et s’effondre comme blessée à mort…

Parsifal victorieux s’éloigne et disparaît…

PD30 Métaphysique Pratique

La Magie authentique, la Métaphysique Pratique de Bacon, est la science mystérieuse qui nous permet de contrôler les forces subtiles de la nature.

La Magie pratique, selon Novalis, est l’art prodigieux qui nous permet d’influer consciemment sur les aspects intérieurs de l’homme et de la nature.

L’amour est, sans aucun doute, l’ingrédient intime de la magie. Il est ostensible que la substance merveilleuse de l’Amour œuvre magiquement.

Goethe le grand initié allemand en personne, se déclarait en faveur de l’existence magique de l’être créateur, pour une magie animique qui agit sur les corps.

La Loi fondamentale de tout influx Magique se base sur la polarité.

« Nous tous les êtres humains, sans exception aucune, avons quelques forces électriques et Magnétiques en nous, et exerçons comme un aimant, une force d’attraction, l’autre de répulsion… Cette force magnétique, entre hommes et femmes qui s’adorent, est spécialement puissante et il est indiscutable que son action va très loin ».

« Le mot Magie dérive de la racine aryenne Mab (de là, en Perse Maga, en sanscrit Mahas, en latin Magis, en allemand Mehr, c’est-à-dire Plus) ayant la signification, au sens propre, d’un savoir et d’une connaissance au-delà de la moyenne ».

Au nom de la vérité nous devons dire ce qui suit : ce dont l’humanité a besoin pour vivre, ce ne sont pas les hormones ou les vitamines mais une pleine connaissance du Toi et Moi, et en conséquence, l’échange intelligent des facultés affectives les plus sélectes entre l’homme et la femme.

La Magie Sexuelle, le Maïthuna, se fonde sur les propriétés polaires de l’homme et de la femme, qui ont indubitablement leur élément potentiel dans le Phallus et l’Utérus.

Le fonctionnalisme sexuel dépourvu de toute spiritualité et de tout amour, est uniquement un pôle de la vie.

Soif sexuelle et aspiration spirituelle en pleine fusion mystique constituent en elles-mêmes les deux pôles radicaux de tout érotisme sain et créateur.

Pour nous les Gnostiques, le corps physique est quelque chose comme une âme matérialisée, condensée, et non un élément impur, pécamineux, comme pour les auteurs de traités de l’ascèse absolue de type médiéval.

En opposition à l’ascèse absolue avec son caractère négateur de la vie, surgit comme par enchantement, l’ascèse révolutionnaire de la nouvelle ère du Verseau : mélange intelligent du sexuel et du spirituel.

Il ressort très clairement que la Magie Sexuelle, le Sexo-Yoga, conduit intelligemment à l’unité mystique de l’âme et de la sensualité, soit la sexualité vivifiée : le sexuel cesse alors d’être un motif de honte, de dissimulation ou de tabou, et devint quelque chose de profondément religieux.

De la pleine et intégrale fusion de l’enthousiasme spirituel avec la soif sexuelle, surgit la Conscience Magique.

Il est urgent, impératif, indispensable, de nous émanciper du cercle vicieux de l’accouplement vulgaire, et de pénétrer consciemment dans la glorieuse sphère de l’équilibre magnétique.

Nous devons nous redécouvrir dans l’être aimé, trouver en lui le sentier du fil du rasoir.

La Magie Sexuelle prépare, ordonne, enlace, attache et défait à nouveau, en rythmes harmonieux, ces milliers de millions de dispositifs physiques et psychiques, qui constituent notre propre univers particulier intérieur.

Nous reconnaissons les difficultés : le double problème que présentent les courants nerveux et les subtiles influences qui agissent sur notre état d’âme de manière consciente ou inconsciente est indiscutable.

Gouverner sagement de si délicats mécanismes, courants et influences pendant la transe sexuelle, n’est possible qu’à travers l’expérience personnelle de chacun.

Ce type spécifique de connaissance s’avère intransmissible ; il est le résultat de l’expérimentation individuelle ; ce n’est pas quelque chose que l’on peut montrer comme ce qui s’apprend et ce qui est visible.