Les Punctas
Des analyses scientifiques approfondies sont venues nous démontrer de manière frappante, convaincante et décisive que l’atome n’est nullement la particule la plus infinitésimale de la matière.
Les physiciens atomiques ont créé le dogme de l’atome, et maintenant, avec une attitude irrévocable, sans appel et inébranlable, ils excommunient, maudissent et jettent leurs imprécations et anathèmes au visage de quiconque essaie d’aller un peu plus loin.
Nous, les Gnostiques, nous affirmons de façon ferme et solennelle que la matière est composée de certains objets bien définis, correctement appelés punctas.
Retour et Transmigration
Les traditions antiques disent qu’Énée, le Troyen, se serait réfugié un certain temps avec ses gens dans les forêts du mont Ida jusqu’à ce que les Grecs aient abandonné la vieille Troie. Et lorsque les Hellènes abandonnèrent les ruines héroïques de la superbe Ilion, Énée construisit sa flotte et laissa en pleurant les rives de sa patrie et la plaine solitaire où était située l’ancienne citadelle, aujourd’hui convertie en un tas de ruines noircies.
Le vent gonfle les voiles dociles sous la lumière de la pleine lune, la rame lutte contre le marbre paisible, et le héros parvient, avec ses navires et ses gens, aux côtes de Thrace, rude pays où il est confiant de trouver une terre accueillante, les Thraces ayant été les alliés du vieux Priam.
La Rune Is
Lorsque nous analysons la Rune Is en profondeur, nous y découvrons avec un étonnement mystique notre propre Être, notre Intime.
L’Œuf Cosmique
Einstein, le fameux auteur de la Théorie de la relativité, conçut au début de ce XXe siècle dans son mental génial un univers courbe, fini, fermé comme un œuf.
L’exclamation terrible de cet homme extraordinaire nous revient encore à la mémoire : “ L’infini tend vers une limite ! ”
L’Oracle d’Apollon
Après les funérailles royales et sacrées de Polydor, l’épique guerrier glorieusement tombé parmi les heaumes et les écus dans la bataille sanglante, Énée, le Troyen, prit la mer tumultueuse et effrayante avec ses navires et ses gens, et il ne tarda pas à atteindre la terre de Délos, site de tant de traditions hyperboréennes, où il consulta, brûlant de la flamme de la foi, l’oracle d’Apollon sagement construit dans la pierre dure.
Hérodote, dans le livre IV, chapitres 32 à 34, raconte que les Hyperboréens, vieux ancêtres des Lémuriens, envoyaient périodiquement à Délos leurs offrandes sacrées enveloppées dans de la paille de froment. Ces offrandes vénérables avaient un itinéraire sacré bien défini : elles passaient d’abord par le pays scythe, puis elles allaient vers l’occident jusqu’à la mer Adriatique ; c’est la même route que suivait l’ambre depuis la Baltique jusqu’à l’abondant fleuve Pô, dans la péninsule italique.
Page 2 sur 10